L’assistance vidéo arbitrale (VAR) a été utilisée à la coupe du monde Russie 2018. Forcement, elle n’a pas fait l’unanimité et s’est trouvée en si peu de temps, au cœur d’une grande polémique surtout après certaines décisions jugées incorrectes selon les avis des amoureux du ballon rond. Dans quels cas s’interposera la VAR ?
Depuis le début de la coupe du monde Russie 2018, l’intervention de l’assistance vidéo arbitrale (VAR) permet à l’officiel de la rencontre de revenir sur un verdict, une action et changer totalement le cours d’un match. Progrès indispensable pour certains, hérésie pour d’autres qui pensent même que cette nouvelle mesure tue le jeu et n’est pas appliquée dans son intégralité et sous ou pour n’importe quelle formation.
Dans quels cas s’interposera la VAR ?
La VAR se portera uniquement sur quatre cas : Valider ou non un but. Accorder ou non un penalty. Attribuer ou non un carton rouge et corriger une erreur d’identification d’un joueur sanctionné. Pratiquement, tous ces points ont déjà enregistré au cours de la 21e édition du mondial russe 2018
L’assistance vidéo vient avec quatre personnes : une sur le bord du terrain, trois dans la régie avec de taches différentes : l’arbitre assistant principal de la VAR est en contact direct avec le directeur du jeu pour lui signaler s’il a pris la bonne décision et, il est accompagné d’un assistant et un opérateur technique qui traite les images.
L’arbitre de la rencontre est le seul à pouvoir prendre une décision ou de retourner là-dessus après l’avoir revu dans le casier de la VAR où encore seulement lui, est apte à y pénétrer là-dedans. Cependant, pour y parvenir, il faut que la sentence soit rendue sur l’action en doute.